Pratiques sexuelles risquées à l’Assemblée : Sexe, Chantage et Monkeypox, l’Enquête Choc sur les Députés et Ministres
Une enquête exclusive sur la sexualité risquée de certains députés et ministres : chantage, pratiques extrêmes et monkeypox
Des pratiques extrêmes sur les sites de rencontres à l’Assemblée Nationale
Une enquête explosive, parue dans le dernier numéro de Têtu, révèle les pratiques sexuelles risquées et parfois extrêmes des députés et ministres français, notamment sur des plateformes de rencontre comme Grindr ou encore Wyylde.
Ces élus, au cœur de la politique, n’hésitent pas à se retrouver dans des situations compromettantes, qu’il s’agisse de photos dénudées ou de propositions sexuelles explicites, tout en redoutant d’être exposés publiquement.
L’Assemblée nationale, un lieu de pouvoir et de secrets, devient ainsi une scène de tensions entre vie publique et désirs privés.
Des témoignages anonymes inquiétants
Le magazine Têtu compile des témoignages anonymes d’élus qui, par peur des représailles, s’inquiètent de voir leurs pratiques sexuelles révélées sur les réseaux sociaux.
Parmi les comportements évoqués, certains vont jusqu’à porter une “cage de chasteté” lorsqu’ils prennent la parole à la tribune, tandis que d’autres se livrent à des actes privés en public.
David Valence, ancien député des Vosges, témoigne par exemple :
“L’Assemblée, c’est une ruche où il y a beaucoup de proximité entre élus, qui dorment régulièrement dans leur bureau…”
Chantage, menaces et pratiques à risques
L’un des plus grands dangers auxquels ces parlementaires sont confrontés reste le chantage.
En effet, des photos compromettantes ou des vidéos pourraient être utilisées pour détruire des carrières.
Un député, cité anonymement, affirme que son corps est devenu une “ressource publique”, exploité dans des moments d’intimité mais toujours sous la menace de l’exposition.
Un autre député se souvient d’une situation où un collègue aurait tenté de faire chanter un élu, mais l’affaire aurait été rapidement étouffée grâce à l’intervention d’un chef de groupe politique.
Têtu vient de publier une enquête « J’ai croisé mon élu sur Grindr » et … y’a des pépites. pic.twitter.com/cjTDnBEE6k
— Alistair (𓅨𓂋𓀀) (@PessimismeActif) December 4, 2024
Monkeypox et chemsex : la face cachée de la politique
L’été 2022 a été marqué par une recrudescence des cas de monkeypox au sein de l’Assemblée, avec des parlementaires contraints à l’isolement après avoir contracté cette maladie liée à des comportements sexuels à risque.
Mais ces révélations ne s’arrêtent pas là.
Le phénomène du chemsex, la consommation de drogues lors de rapports sexuels, refait surface, notamment avec le témoignage du député Andy Kerbrat, arrêté plus tard pour achat de stupéfiants à Paris.
Le mix entre politique, sexe et drogue semble ainsi bien plus ancré dans les pratiques des élites qu’on ne pourrait le penser.
La réalité des députés face à leurs désirs
Au-delà des pratiques à risques et des scandales potentiels, certains élus prennent un regard plus détaché sur la question.
Benoît Bordat, ancien député de Côte-d’Or, résume la situation avec pragmatisme :
“La réalité, c’est que nous sommes comme les autres Français : certains ont une sexualité très libre, d’autres plus classique voire inexistante”
L’Assemblée, comme un microcosme de la société, n’échappe donc pas aux mêmes défis et contradictions.
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@JuliettaCelib sur Wyyde, Journaliste
Journaliste spécialisée dans l’actualité coquine, sexy et insolite, aborde avec humour et légèreté des sujets qui titillent la curiosité. De tendances érotiques surprenantes aux anecdotes les plus osées, elle explore l’univers du plaisir sous toutes ses formes.
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