Faid Abdellah : « Il a la tête du Joker pendant qu’il me viole »

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Temps de lecture : 3 minutes

Faid Abdellah : 11 ans de réclusion pour l’agression sexuelle d’une patiente à l’hôpital Cochin : une condamnation lourde

En octobre 2022, une patiente de l’hôpital Cochin, à Paris, subit une agression sexuelle en pleine nuit.
Son agresseur, Faid Abdellah, vient d’être condamné à 11 ans de prison par la cour criminelle de Paris.

Un acte insoutenable dans un lieu de soins

Dans la nuit du 27 au 28 octobre 2022, une scène d’horreur s’est déroulée au sein des murs de l’hôpital Cochin, dans le 14e arrondissement de Paris.
Une patiente, âgée de 36 ans et inconsciente après une chute provoquée par un malaise, a été agressée sexuellement dans son box des urgences.
L’agresseur, identifié comme Faid Abdellah, 24 ans, l’a attaquée alors qu’elle était endormie, dans un moment de vulnérabilité extrême.

Une condamnation sévère

Ce mardi, la cour criminelle de Paris a prononcé une peine de 11 ans de réclusion criminelle contre Abdellah, assortie d’une interdiction définitive de séjour en France et d’une inscription au Fijais, le fichier des délinquants sexuels.
L’accusé a été reconnu coupable de viol sur une personne vulnérable, sous l’emprise de stupéfiants et d’alcool, de vol et d’escroquerie.

La peine rend compte de la gravité des actes et des circonstances aggravantes de cette agression.

La victime, un témoignage bouleversant

Lors de l’audience, la victime a livré un témoignage bouleversant : « J’ai regardé devant moi et là, j’ai vu une scène d’horreur », a-t-elle décrit, expliquant que l’homme « avait sa main et deux ou trois doigts enfoncés au fond de [son] vagin ».
Ce souvenir atroce la poursuit et la justice a souligné l’impact dévastateur de cet acte sur sa vie.
Pendant le procès elle déclarera même cette phrase qui glacera le sang de toute la salle :

« Il a la tête du Joker pendant qu’il me viole »

Un accusé à la version fluctuante

Faid Abdellah, déjà connu de la justice, s’est défendu avec un discours fluctuant et incohérent tout au long du procès, alternant entre déni et reconnexions tardives des faits.
À plusieurs reprises, il a tenté de minimiser son geste, déclarant notamment : « Si elle avait crié, j’aurais arrêté ».
Ses propos n’ont fait que renforcer l’incrédulité et l’indignation de la cour.

Une justice au service des victimes

Pour l’avocate de la victime, Me Laura Abecassis, cette décision est une réponse essentielle pour toutes les femmes victimes de violence :

« Nous demandons réparation pour elle, mais aussi pour toutes les femmes qui ont vu leur vie détruite par des prédateurs. »

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Juliette Bertoux, Journaliste
Journaliste spécialisée dans l’actualité coquine, sexy et insolite, aborde avec humour et légèreté des sujets qui titillent la curiosité. De tendances érotiques surprenantes aux anecdotes les plus osées, elle explore l’univers du plaisir sous toutes ses formes.


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