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Le visage stéréotypé de l’homme infidèle : ce que révèle une étude
Une enquête qui lève le voile sur l’apparence des hommes infidèles
Infidélité et apparence : une étude surprenante
Peut-on vraiment identifier un homme infidèle à son apparence ?
Selon une étude menée par l’application de jeux MrQ, associée à une technologie d’intelligence artificielle, la réponse serait affirmative.
L’enquête a impliqué près de 2000 Britanniques, qui ont été invités à décrire le physique d’un homme susceptible de trahir son partenaire.
Ce projet, alliant témoignages et données technologiques, vise à établir un portrait robot de ce que pourrait être un tricheur, tant dans les jeux que dans la vie amoureuse.
Le portrait robot d’un homme infidèle
Les résultats de cette étude ont abouti à une image précise : l’homme infidèle aurait environ quarante ans, des yeux bleu-gris, une barbe courte, ainsi qu’une calvitie notable.
Son nez serait imposant, et des rides marqueraient son visage.
Pour donner vie à ces descriptions, l’intelligence artificielle a généré un visage qui pourrait faire frémir les partenaires fidèles.
Mais ce ne sont pas uniquement les hommes qui sont passés sous la loupe de cette enquête.
Une infidélité féminine révélée
L’étude n’a pas négligé la gente féminine.
Selon les résultats, une femme infidèle aurait les cheveux noirs et serait généralement âgée d’une cinquantaine d’années, avec un petit nez et une moue médiane.
Ces caractéristiques physiques peuvent sembler stéréotypées, mais elles révèlent des attentes et des jugements bien ancrés dans la société.
Des chiffres inquiétants
Rosie Maskell, directrice marketing senior chez MrQ, s’est réjouie des découvertes de cette enquête.
Elle note que « grâce à notre enquête et à l’IA, nous avons mis en lumière les traits physiques associés aux personnes enclines à la tricherie. »
Elle a également partagé des statistiques troublantes :
« 52 % des Britanniques ont déjà trompé ou ont été trompés, ce qui souligne l’importance de cette recherche. »
Bien que ces résultats soient basés sur une analyse statistique et ne reflètent pas la réalité de chaque individu, ils offrent une vision intrigante des préjugés entourant l’infidélité.
Une mise en garde
Il est crucial de garder à l’esprit que le comportement d’une personne ne peut être réduit à son apparence.
Comme le souligne Rosie Maskell, « le comportement des gens est défini par leurs décisions et leurs actions, et non par leur apparence. »
Cela dit, cette étude fournit des pistes de réflexion sur les stéréotypes liés à l’infidélité et pose la question de la méfiance dans les relations.
Quelles sont vos réflexions sur ces résultats ? Partagez votre avis dans les commentaires ci-dessous !
Juliette Bertoux, Journaliste
Journaliste spécialisée dans l’actualité coquine, sexy et insolite, aborde avec humour et légèreté des sujets qui titillent la curiosité. De tendances érotiques surprenantes aux anecdotes les plus osées, elle explore l’univers du plaisir sous toutes ses formes.
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