Découvrez combien de fois il faut éjaculer par mois pour être en bonne santé

Éjaculer pour survivre : quand la médecine impose ses chiffres

Les médecins imposent un seuil de nombre d’éjaculations par mois pour éviter le cancer de la prostate, entre prévention et pression sociale.

Éjaculer, un acte vital déguisé en plaisir

L’éjaculation, cet acte que la plupart associent uniquement à une forme de plaisir immédiat, cache en réalité un enjeu bien plus lourd.
Ce n’est plus seulement une question de libido, mais de survie.

Pour éviter la lente et inéluctable dégradation de la santé masculine, les médecins américains, en blouse blanche, imposent leur chiffre…

Les bienfaits thérapeutiques du sexe solitaire ou accompagné

À Harvard, on ne parle plus seulement de vie sexuelle comme d’un choix personnel.
On calcule, on étudie. 32 000 hommes, observés pendant dix-huit ans, sous le microscope clinique des chercheurs.

La conclusion ? Ceux qui éjaculent le plus sont ceux qui tombent le moins.
Cancer de la prostate, cette épée de Damoclès, pourrait ainsi être évitée, ou tout du moins retardée, si l’on suit scrupuleusement les recommandations.

Un seuil imposé par la médecine moderne

Chaque année, en France, près de 50 000 hommes sont frappés par ce cancer.
Le chiffre n’est pas anodin. Et les médecins, eux, insistent : l’éjaculation régulière permet d’éliminer les toxines qui, sinon, accumulées dans le corps, finissent par ronger les organes.

À travers le sperme, c’est littéralement notre santé qui s’écoule.

Un impératif qui pèse lourd

Oui, il faudrait donc éjaculer 21 fois par mois, ni plus ni moins. Sinon, on risque gros.
21 fois par mois, répètent les experts. Pas moins.
Pourtant, derrière ce chiffre, une question demeure : jusqu’où la science peut-elle régir nos pulsions, transformer notre quotidien en un enchaînement d’actes mécaniques, dictés par la peur de la maladie ?

L’éjaculation devient-elle alors un devoir, une obligation inscrite dans le calendrier intime de chaque homme ?

Peut-on réellement prescrire la jouissance comme on prescrit un médicament ?

Sylvie, 42 ans de Solliès-Pont témoigne…

J’ai rencontré le mois dernier sur Tropintense un homme qui ne pouvait pas passer une journée sans se masturber.
Au début, je trouvais ça anodin, presque amusant.
Mais avec le temps, c’est devenu une obsession.

Il pouvait disparaître dans la salle de bain pendant des heures, même après qu’on ait eu des rapports.
Je ne comprenais pas, et ça me blessait. On en est arrivé à ce point où je me sentais complètement mise de côté, comme si je n’étais plus qu’un accessoire dans sa vie.

Il m’a dit une fois que c’était pour sa santé, qu’il avait lu quelque part qu’il fallait éjaculer souvent pour éviter des maladies comme le cancer. Mais cette « prévention », c’était devenu une prison, pour lui comme pour moi.
On a rompu et je recherche à présent sur ma petite annonce un type qui ne soit pas un branleur compulsif ? C’est possible ça ?

L’éternel compromis entre plaisir et santé

Éjaculer, au-delà de la simple prévention contre le cancer, aurait aussi d’autres effets bénéfiques : réduction du stress, meilleure qualité de sommeil.

Comme si le corps, en se libérant, retrouvait une paix temporaire.
Mais cette paix a un coût. On nous parle d’hygiène de vie, de nutrition, de sport, comme d’autant de compléments à ce rituel de l’éjaculation.
Rien ne doit être négligé.

Tout est sous contrôle.

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Delphine Girodaingo, Rédactrice en Chef Rédactrice en chef spécialisée dans la séduction, la drague et la sexualité. Avec une plume audacieuse et un style direct, elle décrypte sans tabous les nouvelles tendances amoureuses et intimes.

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