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Le Sexe comme élixir de longévité : une étude qui réinvente l’intimité
Des rapports sexuels fréquents pour une vie plus longue : une vérité scientifique qui résonne dans les chambres à coucher.
Une vie sexuelle épanouie : la clef de la santé
L’idée que la pratique du sexe puisse être bénéfique à la santé n’est pas nouvelle.
Dans un monde où l’on s’efforce de s’épanouir tant physiquement que spirituellement, la notion d’une vie sexuelle active apparaît comme une panacée.
Les couples et partenaires réguliers, emportés par le désir de rallonger leur existence, s’emploieront sans doute à appliquer les recommandations de chercheurs qui semblent enfin valider une intuition partagée.
Oui, la sexualité est non seulement un plaisir, mais aussi une nécessité pour le cœur, un geste d’amour envers soi-même et l’autre.
Des études qui éclairent les ombres du désir
Une étude récente, publiée dans le Journal of Psychosexual Health, jette une lumière inattendue sur les rapports sexuels et leur impact sur notre longévité.
Réalisée sur 2 267 participants aux États-Unis, elle se penche en particulier sur la gent féminine.
Les résultats sont clairs : une femme dont la sexualité est en berne est plus susceptible de mourir prématurément.
La vérité, cruelle mais sans équivoque, s’impose : les relations sexuelles, au sens large, sont intrinsèquement liées à la santé.
Les chercheurs affirment que « l’activité sexuelle est importante pour la santé cardiovasculaire globale », une découverte qui pourrait bien donner à certaines une nouvelle raison de se glisser sous les draps.
Une division en deux catégories : le sexe à toutes les fréquences
Les participants se divisent en deux groupes distincts : ceux qui ont des rapports sexuels au moins une fois par mois (94,4 %) et ceux qui franchissent le cap plus d’une fois par semaine (38,4 %).
Cette dichotomie a permis aux chercheurs d’établir une corrélation entre la fréquence des rapports et la mortalité.
Il devient évident que moins une femme s’adonne à sa sexualité, plus son espérance de vie s’amenuise.
Un constat qui, en plus de relever d’une certaine logique biologique, résonne avec le quotidien des célibataires désenchantés et des couples désillusionnés.
Nathalie, 47 ans de Paris témoigne…
Je me souviens d’une période où ma vie était une routine morne, rythmée par le travail et la solitude. Une fois, lors d’une soirée, j’ai rencontré un homme sur Tropintense qui, au début, semblait juste être un compagnon d’un soir. Nous avons passé des heures à discuter, à rire, et à partager des histoires intimes.
Après cette nuit-là, nous avons commencé à nous voir régulièrement.À chaque rencontre, quelque chose en moi se réveillait. Je ne me contentais plus de survivre ; je commençais à vivre.
Nos rapports étaient plus qu’une simple connexion physique, ils devenaient une célébration de la vie, du désir, de la passion.
Avec lui, je me sentais pleine d’énergie, comme si chaque étreinte me donnait un souffle de vie supplémentaire.Je ne savais pas à l’époque que cette régularité, cette intimité, aurait un impact si profond sur mon bien-être.
Aujourd’hui, je comprends que chaque moment partagé ne renforçait pas seulement notre lien, mais agissait aussi comme un véritable élixir de jeunesse pour mon corps et mon esprit.
Je ne peux m’empêcher de penser que ces instants de passion m’ont appris à chérir la vie et à me sentir vivante, jour après jour.
Mais retrouverai-je ce genre d’homme sur mon profil ?
En tous cas, j’attends sur mon annonce rencontre la perle rare…
Les ombres de la dépression et le pouvoir du désir
Dans un monde où la dépression s’immisce dans le quotidien, cette étude nuance la portée de ses effets.
Selon les chercheurs, l’activité sexuelle pourrait non seulement atténuer les symptômes dépressifs, mais également réduire les conséquences néfastes qui en découlent. Les personnes souffrant de dépression mais jouissant d’une vie sexuelle épanouie subissent moins de son poids.
Ce constat, aussi réconfortant qu’il soit, laisse entrevoir la complexité des liens entre sexe, santé mentale et longévité.
Il est important de rappeler que, malgré les promesses scientifiques, chaque individu demeure un univers à part entière, empli de nuances et de singularités.
La liberté de choisir : une vie sexuelle à la carte
Il reste essentiel, dans cette quête de bien-être, de ne pas se laisser influencer par des injonctions sociétales.
Qu’il s’agisse d’une fois par jour, par semaine, ou même par an, chacun est libre de vivre sa sexualité à sa manière.
Ne laissez pas les discours péremptoires vous contraindre dans des choix qui ne résonnent pas avec vos désirs intérieurs.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Laissez vos réflexions dans les commentaires ci-dessous !
Delphine Girodaingo, Rédactrice en Chef Rédactrice en chef spécialisée dans la séduction, la drague et la sexualité. Avec une plume audacieuse et un style direct, elle décrypte sans tabous les nouvelles tendances amoureuses et intimes.
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