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Quand le vaginisme transforme la nuit de noces en cauchemar : le parcours de Stephanie et Andrew

Découvrez l’histoire bouleversante de Stephanie Muller, qui a découvert son vaginisme lors de sa nuit de noces, et le cheminement de son couple face à ce trouble méconnu.

Un mariage sous le signe de la chasteté

Stephanie Muller, 23 ans, et Andrew, 31 ans, se sont rencontrés en 2013 dans une paroisse de New York.
Très vite, ils ont décidé d’adopter un mode de vie basé sur des valeurs communes, dont l’abstinence.
Stephanie, fermement attachée à ses convictions religieuses, a expliqué à Andrew qu’elle souhaitait attendre le mariage pour avoir des relations sexuelles.

Malgré une attente de deux ans, le couple a respecté cet engagement, se préservant pour ce qui devait être une nuit inoubliable.

Une première nuit qui vire au cauchemar

Après leur mariage en 2017, Stephanie et Andrew avaient minutieusement planifié leur nuit de noces, espérant que cette première expérience soit mémorable.
Mais, contre toute attente, le moment tant attendu s’est transformé en épreuve.
Lorsqu’ils ont essayé de consommer leur union, ils ont été confrontés à des douleurs intenses et à une impossibilité de pénétration, poussant Andrew à arrêter.
Stephanie a consulté un gynécologue qui, en l’examinant, a constaté une infection due à la tentative infructueuse, nécessitant des antibiotiques pendant trois mois.

Un diagnostic inattendu : le vaginisme

Après des tentatives infructueuses, Stephanie a été diagnostiquée atteinte de vaginisme, un trouble caractérisé par une contraction involontaire des muscles vaginaux, rendant toute pénétration extrêmement douloureuse, voire impossible.

Elle a alors entrepris divers traitements, dont des antidouleurs et des relaxants, mais aucun n’a fonctionné.
Elle s’est également procuré un kit de dilatateurs, conçu pour détendre la zone pelvienne, sans succès.

Le parcours de Stephanie dans un centre spécialisé

Pour surmonter ce trouble, Stephanie a intégré en mars 2019 un centre thérapeutique spécialisé dans le traitement du vaginisme.
Après trois mois de suivi intensif, elle a pu retrouver une vie intime avec Andrew.

« Le vaginisme avait désexualisé notre relation. Nous avions fini par éviter tout sujet lié au sexe pour ne pas raviver nos peurs et tristesses »,

confie-t-elle.

Ce parcours éprouvant a renforcé leur relation et lui a permis de redonner une dimension amoureuse à leur couple.

Un message d’espoir pour les femmes touchées par le vaginisme

Stephanie souhaite désormais lever le voile sur ce trouble et en finir avec la honte et l’isolement que ressentent de nombreuses femmes confrontées au vaginisme.
Son témoignage vise à offrir un soutien et un espoir pour celles qui traversent une situation similaire.

N’hésitez pas à partager vos expériences et à laisser un commentaire ci-dessous pour encourager le dialogue sur le vaginisme.

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Juliette Bertoux, Journaliste
Journaliste spécialisée dans l’actualité coquine, sexy et insolite, aborde avec humour et légèreté des sujets qui titillent la curiosité. De tendances érotiques surprenantes aux anecdotes les plus osées, elle explore l’univers du plaisir sous toutes ses formes.

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Credit Photo : MDWfeatures / Stephanie Muller